Alice dans les livres par Jean-Marie GOURIO (2006)

4ème de couverture : Nous sommes à l’hôpital. Chaque jour depuis des mois, un homme lit Alice au pays des Merveilles, de Lewis Carroll, à sa petite fille Alice. Le Livre sauvera-t-il son enfant de la maladie ? Alice au pays des Merveilles sauvera-t-elle Alice du pays des Souffrances ? Il faut croire aux histoires, disent les livres. Alors Alice au pays des Merveilles quitte son royaume pour venir à la rencontre de la petite Alice à l’hôpital. Sortant du livre de Lewis Carroll, traversant les autres livres de la bibliothèque pour apprendre la vie, Alice et le Lapin blanc entraînent la fillette malade dans leur rêve.

Un grand merci à Florinette qui a gentiment fait voyager ce livre ! Il est maintenant reparti vers d’autres horizons.

En réalité, je ne peux absolument pas faire une critique de ce livre car les 1ères pages m’ont beaucoup trop émue et je n’ai pas pu poursuivre ma lecture. Cependant, je voulais tout de même signaler que ce livre voyage et que des âmes moins sensibles que moi à ce type de sujet pourront surement être touchées mais moins abattues.

Mention spéciale tout de même à l’édition qui présente un texte qui varie de couleur selon que le moment se situe dans la réalité (couleur de police noire) ou dans les livres (couleur de police turquoise).

36 commentaires sur “Alice dans les livres par Jean-Marie GOURIO (2006)

  1. Voilà un billet bien intriguant miss ^^
    Je note ce titre à cause d’Alice au pays des Merveilles et parce qu’il me fait penser à « Oscar et la dame rose » qui m’avait beaucoup touchée 😉

    1. Et oui, c’est parce qu’en plus d’être d’une chochottitude absolue et confirmée, je suis également une hypersensible chouineuse (le chouinement, c’est les origines espagnoles :-P).
      Tu vois, Oscar et la dame rose, je n’essaierai même pas de le lire !!! En fait, il y a certains thèmes que j’ai du mal à supporter : la souffrance des enfants (pire quand ce sont des filles, je ne peux pas m’empêcher de penser aux miennes…) et tout ce qui est maladie et fin de vie. Alors là, les 1ères pages ont suffi à me donner mal à la tête pour une semaine (à force d’essayer de me retenir de pleurer…).
      Cela dit, si tu le lis, je pense que tu seras touchée toi aussi par ce livre qui a l’air très beau.

  2. Je l’ai lu, il y a un bon moment. Mon avis était sur mon ancien blog, il faudrait que je le mette sur celui que j’ai en ce moment. Enfin, tous cela pour dire que j’avais beaucoup aimé. J’avais été charmée par ce livre et par le style de l’auteur, par la construction du récit…

    1. C’est vrai que tout cela avait vraiment l’air très beau. J’ai grappillé quelques lignes par ci, par là mais dès que l’on parlait de la maladie de l’enfant, je me remettais à pleurer alors j’ai préféré laisser tomber… 😦

  3. J’avais d’office passé sur ce livre. Le thème de la maladie et moi … tu sais bien 😉
    Je réponds à ton mail ce week-end !

    1. Oui j’imagine bien ! Et bien, moi aussi maintenant, c’est confirmé, le thème de la maladie n’est pas fait pour moi… 😐
      Au fait, j’ai décidé de lire en priorité les livres prêtés et j’ai commencé La dame en blanc ce matin. Et pour l’instant, au bout de 60 pages, je m’y plais bien ! 😀

  4. Oui… donc ça se confirme : Tu es une grosse chochotte !
    Nan mais c’est bien, faut assumer ce qu’on est dans la vie…
    😀

  5. Ton billet est très touchant et tu as eu raison de t’arrêter. Il y a un temps pour tout. Pour le film avec Natalie Portman, c’est ici

    1. Oh merci pour le lien ! Je vais aller voir ça, et si je me le trouve, je vais me concocter une petite soirée DVD en tête à tête avec moi-même car je crains que mon mari n’ait pas une folle envie de voir ce film… 😉

    1. Mais bien entendu, avec grand plaisir même : « ahem ahem… moi yé veux mourir sur scèneeeeeeeeeeeeee devant les proyecteurs…….. oui yé veux mourir sur scèneuuuuuuuuuuuuu…….. le cœur ouvert tout en ??? ahem ahem » Alors convaincue ?!? Hir hir hir

  6. Ton énigmatique ressenti sur ce livre me rend bien curieuse! Je vais voir si je trouve ce livre à la bibliothèque pour m’en faire une idée …

    1. Tu me rassures ! Je me suis fait de tels maux de têtes à essayer quand même de le lire sans pleurer mais dès qu’il parlait de la petite fille malade, c’était terminé, les grandes eaux étaient là ! Finalement, il y a des choses difficilement surmontables, même en roman…

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