Les villes invisibles par Italo CALVINO (1972)

4ème de couverture : Dans différents pays, des hommes font le même rêve d’une femme nue courant dans une ville inconnue. Au réveil, ils se lancent à sa recherche et se retrouvent au même endroit. Ils décident d’y construire la cité de leur rêve, Zobéïde.
Italo Calvino rêve que Marco Polo lui raconte ses voyages. Dorothée, Isaura, Octvie, Phyllide : chaque ville porte le nom d’une femme mystérieuse. Des villes inoubliables, qui n’ont leur place dans aucun atlas.

Pour moi qui ne suis pas du tout d’un caractère contemplatif, l’arrivée de ce livre dans le cadre de la Chaîne des Livres me faisait un peu peur. Quand j’ai vu dès le départ que je n’accrochais pas aux trop courtes descriptions de villes, j’ai décidé de lire quelques pages de temps en temps. J’ai donc plus feuilleté ce livre que réellement lu.
Mon appréhension s’est vue confirmée, ce genre d’ouvrage descriptif n’est pas fait pour moi mais je comprends tout à fait l’engouement qu’il peut susciter chez d’autres lecteurs, notamment chez Chimère qui l’a proposé pour la chaîne.